Une «quat-quat» accidentée… mais repeinte. Une cage de Sidi Bou Saïd cachée dans une salle obscure. Un pot de piments rouges dont on réalise, sidérés, que, oui ! Cela s’appelle bien piments du pays des esclaves—felfel bar laabid—et qu’il est urgent de lui trouver une autre appellation. Et puis une accumulation de pains secs, deux tombes jumelles illustrées d’un demi-ours …